Que représentent 60 ans de BNP Paribas Fortis Factor pour... Greet Leysen ?
.png?sfvrsn=7fa7cab1_3)
Le 60e anniversaire de BNP Paribas Fortis Factor est l’occasion idéale de revenir sur les expériences et témoignages de collègues. Aujourd’hui, nous faisons le point avec Greet Leysen, Chief Financial Officer (CFO) Factoring Northern Europe. Elle nous parle de sa carrière, de ses réalisations et de ses projets d’avenir au sein de la Factor. « Lorsque j’ai commencé chez Factor en 1997, je n’aurais jamais imaginé qu’après 28 ans je travaillerais encore ici avec autant de plaisir. J’ai consacré plus de la moitié de ma vie au succès de BNP Paribas Fortis Factor. J’en suis fière. » Au cours de ces 28 années, elle a occupé diverses fonctions et, à l’avenir, son rôle évoluera encore quelque peu.
Vous avez commencé chez BNP Paribas Fortis Factor en 1997. Pouvez-vous nous parler de votre parcours jusqu’à aujourd’hui ?
Greet : « Ma carrière a débuté comme conseillère en crédit, ce que nous appelons aujourd’hui debtor risk. Je décidais notamment des limites de crédit et j’ai rapidement évolué vers un poste de responsable du département. »
« En 2000, lors de la transformation en Fortis Commercial Finance (voyez notre vidéo historique pour plus d’informations), le CEO de l’époque, Mark Fosseprez, m’a repérée et j’ai pris la responsabilité des départements Risk et Operations. Mes rôles ont toujours un peu changé au fil des années : parfois l’IT, le juridique ou le business support faisaient partie de mes attributions, mais le Risk est resté une constante. En 2013, j’ai fait le pas vers la Finance, domaine auquel je suis restée fidèle jusqu’à aujourd’hui. En 2018, ma fonction s’est encore élargie et je suis devenue CFO Factoring Northern Europe. »
Mais votre fonction actuelle va aussi bientôt évoluer ?
Greet : « C’est exact. Depuis 2022, je combine mon rôle avec un traitement contre le cancer colorectal. Cela s’est bien passé pendant longtemps, mais cela demande de plus en plus d’énergie, physiquement, mentalement et aussi d’un point de vue pratique. C’est pourquoi, en accord avec Julien Stuyck, nous avons décidé de scinder le rôle de CFO pour FNE et Benelux. Ce n’était pas un choix facile, mais bien nécessaire. »
« Mon rôle va donc bientôt changer, mais ma volonté de contribuer à la Finance, à FNE, à Factor reste intacte. Le plus bel aspect de travailler chez Factor, c’est le facteur humain : aider les gens à grandir. »
« Mon objectif pour l’avenir est de transmettre mes connaissances et mon expérience. Enseigner quelque chose aux gens et les voir progresser. Rien ne me rend plus heureuse. »
Pouvez-vous citer encore quelques étapes dont vous êtes particulièrement fière ?
Greet : « Avec plaisir. Mon passage en Finance a coïncidé avec la migration vers NiuViu, un grand projet auquel j’ai participé activement. En tant que “nouvelle venue”, j’ai dû collaborer soudainement avec des collègues impliqués depuis longtemps dans ce projet, ainsi qu’avec des informaticiens en France. Ce fut une période stimulante que je n’oublierai jamais. Finalement, la migration n’a pas eu lieu, car il a été décidé d’opter pour Aquarius (un système innovant et modulaire de gestion de liquidités). Un groupe projet a alors été constitué, dans lequel j’étais également très impliquée. J’étais surtout responsable de l’élaboration et du suivi du runbook. En deux ans et demi, nous avons mené à bien la migration, exclusivement avec des ressources internes. J’en suis extrêmement fière. »
« L’intégration de Fortis Commercial Finance et BNP Paribas Fortis Factor en 2012 est également une période marquante. Il est alors apparu qu’une séparation entre business et risk était nécessaire. J’ai participé à la mise en place des départements risk. Aujourd’hui encore, je vois dans des présentations des graphiques et synthèses que j’avais réalisés à l’époque. C’est agréable de constater qu’on y fait encore référence. »
Enfin, si vous pouviez exercer une autre fonction pendant un jour, laquelle choisiriez-vous et pourquoi ?
Greet : « Je choisirais une fonction très opérationnelle. Traiter par exemple les paiements des débiteurs. Ce sont des tâches dont on est souvent éloigné en tant que manager, mais qui sont cruciales pour le fonctionnement et la croissance d’une entreprise. »
« Et c’est précisément ce que je souhaite à Factor pour l’avenir : de la croissance. En tant que CFO, je connais l’importance de la croissance en chiffres, mais la croissance en savoir-faire et en expérience est tout aussi essentielle. Offrez aux collaborateurs des histoires positives auxquelles ils puissent s’identifier et être fiers. C’est là que réside la véritable force de Factor. »
Souhaitez‑vous lire encore plus d’histoires personnelles ? Vous trouverez toutes les interviews sur notre page d’actualités. Suivez également le hashtag #factor60ans et ne manquez rien de notre année anniversaire.